Selon le Pew Research Center, la tendance est sensiblement plus prononcée chez les 18 à 29 ans (44 % ont supprimé l’appli) que chez les plus de 65 ans (12 % seulement). La méthodologie de l’étude ne permet pas de savoir avec certitude si la suppression de l’application Facebook est directement liée au scandale Cambridge Analytica ou si elle s’inscrit dans un mouvement plus général d’essoufflement du réseau social aux Etats-Unis, où, malgré ses 164 millions de membres, il est de plus en plus concurrencé par Instagram (110 millions selon Statista) – qui appartient à Facebook.
Comment avons-nous pu nous retrouver au début du 21ème siècle dans une situation où Mark Zuckerberg - et quelques autres patrons de plateformes numériques - se fixent comme objectif récurrent de "protéger la démocratie", principalement à grands coups "d'algorithmes" et "d'intelligence artificielle" et affirment que cela sera une de leurs principales "missions" au sein de leur entreprise et à l'échelle du monde ?
La première Université d'été du féminisme, organisée ces 13 et 14 septembre 2018 à Paris, à la maison de la radio, laisse un arrière-goût de frustration. Pendant deux jours, des débats houleux ont eu lieu, attisés par la présence de certain.es intervenant.es et thématiques. Chronique d'une dispute annoncée
Arrêtons de nous mentir : la jeune génération ne sait pas utiliser un ordinateur ni un smartphone. Plus nos technologies sont évoluées, moins les utilisateurs semblent vouloir les maîtriser.
Il est possible que le fail-over B2C puisse alimenter la plate-forme concomittante mais seulement si nous pouvons péreniser l'hébergement mail embarqué et redonder le retour sur investissement B2C.
Quand Miniflux prône le minimalisme (voir notre entretien), FreshRSS se distingue surtout par sa philosophie. « Un point central, c'est cette contribution à notre petit niveau, humble, à des valeurs importantes », dont l'accessibilité et la bienveillance envers la communauté, nous déclare Alexandre Alapetite.
Les forces de l’ordre ont copieusement aspergé les manifestants de gaz lacrymogènes, manifestants parmi lesquels se trouvaient plusieurs enfants. « Il n’y avait aucune violence de notre part, témoigne Michel Dupont, un militant présent. A ce moment, nous avions les bras levés. » La députée Karima Delli a été sévèrement incommodée et s’est écroulée au sol, en pleurs, prise de difficultés respiratoires.
La meilleure des façons est de ne pas prescrire d’usage, comme celui du foot. Prescrire un usage, c’est prescrire un public. Ça ne veut pas dire que l’on ne peut pas y jouer, mais on doit pouvoir rendre l’espace plus modulable pour que chacun se l’approprie. Un espace central peut faire peur, alors je travaille sur le fait de créer différents univers dans une cour.
Pourtant, ayant échoué à évoluer, l'industrie culturelle française est aujourd'hui prête à s'associer à ce modèle illégal. Avec le vote d'aujourd'hui, le financement de la culture se soumet à l'économie de la surveillance de masse. Et il est injustifiable que le gouvernement français, en soutenant lui aussi cette directive, ait consacré la toute puissance illicite des géants du Web, plutôt que de combattre leur modèle de surveillance pour nous en protéger.
À Paris, l’ogre est en passe d’aspirer la distribution des produits Monoprix. Inutile bientôt de faire la queue à la caisse Livraison ou de naviguer sur Monoprix.fr et d’attendre ensuite de longues heures chez soi sa boîte d’Houmous Extra et sa lessive liquide Le Chat. Aujourd’hui, tout le monde a entendu parler du site d’Amazon et sa livraison express. Son système digestif des concurrents et partenaires est moins connu. Le temps de lire cette chronique pour lever le voile et votre commande sera déjà empaquetée.
Sa conclusion ? Une profonde inquiétude, alors que plusieurs chercheurs ont déjà mis en évidence les effets pervers des algorithmes de recommandation de la plateforme, qui augmentent l'exposition de l’internaute à des contenus de plus en plus radicaux.
Ingénieur dans le BTP, mécanicien, géologue, ces métiers étiquetés « masculins » sont porteurs et promettent des carrières évolutives. Pourtant, les filles se désintéressent de ces professions ou s’interdisent de les envisager, influencées malgré elles par le poids des stéréotypes et la méconnaissance des débouchés de certaines formations.