Un sondage mené par l’Ifop en mai 1945, sur l’ensemble du territoire français désormais libéré (et confirmant un sondage de septembre 1944 auprès des Parisiens), a montré que les interviewés apparaissent bien conscients du rapport de force et du rôle des alliés dans la guerre, et ce malgré la censure et la difficulté sous l’occupation à accéder à une information fiable.
C’est l’ONG Plan International qui a lancé l’alerte, ce lundi 24 septembre. Ils expliquent que les filles sont les grandes victimes des crises humanitaires. En « période de conflit, une fille a 14 fois plus de chance de mourir qu’un garçon ». En outre, elles subissent également les mariages forcées, les viols et la déscolarisation.