Oh tiens, encore une nouvelle saloperie de Facebook: Facebook avait passé des partenariats avec des fabricants de téléphone (Apple, Samsung, etc.) qui permet à ces entreprises d'accéder aux contacts et amis Facebook de l'utilisateur même sans son consentement, et même après que l'utilisateur ait interdit le partage des contacts !
Avant de faire Demain les flammes, j’ai fait pendant pas mal d’années un fanzine qui s’appelait Plus que des mots, et qui traitait quasi exclusivement de punk. Demain les flammes, c’était le moyen de faire un peu un pas de côté et d’essayer de toucher d’autres personnes tout en montrant les ponts entre cette culture-là, le punk, et d’autres cultures populaires.
Photos de Roland Cros
Préface de Marsu (manager de Bérurier noir, Lucrate Milk...)
Postface de François Guillemot (chanteur de Bérurier noir, Molodoï)
Co-édition avec Archives de la zone mondiale
C’est dans les disques, les zines et la presse anar et antifasciste qu’on a trouvé de quoi alimenter nos caboches punko-juvéniles en rébellion contre les injustices et dépasser le stade du « trop cool le look punk »qui ne dure que quelques années d’insouciances.
1988, le groupe change de nom ; la formation a évolué, prenant une tournure plus engagée. Le nom de Kochise est choisi, certains étant alors investis dans la solidarité avec les Indiens d’Amérique, en relation notamment avec la revue Nitassinan, et en hommage à Cochise, Apache Chiricahua, symbole de la lutte contre la colonisation, aux États-Unis.
Cet article a été écrit à l’occasion de la quatrième journée d’étude organisée le 23 janvier 2016 au FGO Barbara à Paris dans le cadre du PIND (Punk is not dead. Une histoire de la scène punk en France 1976-2016). Le PIND est un projet de recherche soutenu par le CESR (Université François-Rabelais/CNRS/MCC) et THALIM (CNRS/ENS/Université Paris 3). Cette 4è conférence cherchait à « interroger l’histoire du punk au prisme des histoires de musiciens et de groupes »
Amélie Coispel, présidente de l’association Les Internettes, qui soutient la création féminine sur YouTube, ne mâche pas ses mots : « Pour un téton, pour le mot vagin, pour avoir parlé de viol, ou même de féminisme, pour tout ce qui a trait aux femmes ou au droit des femmes, des créatrices sont démonétisées sur des vidéos. »
"Le harcèlement et les violences faites aux femmes, ce n'est pas que l'affaire des femmes." C'est ce que rappelle, mercredi 30 mai, une campagne télévisée lancée par la Fondation des femmes pour "sensibiliser les hommes"
La table ronde d'ouverture du 24e congrès annuel de la Confédération Nationale des Radios Associatives a donné le ton. Celui d'une profonde inquiétude sur l'avenir. Pas à moyen ou long terme mais à très court terme. Les financements se font rares et les dossiers de demandes seraient techniquement élaborés pour, de plus en plus souvent, freiner l'engouement des dirigeants bénévoles.
Jusqu’au XIXe siècle, c’est pourtant aux femmes que l’on attribue la plus grande libido. Sous l’Antiquité, l’idée prévaut que contrairement aux hommes doués de raison, les femmes sont gouvernées par leurs corps et en proie à de constantes pulsions. Avec le christianisme, et notamment Saint-Thomas d’Aquin, c’est une image de tentatrice que l’on accole aux « filles d’Eve ». Au XVe siècle, les dominicains Henri Institoris et Jacques Sprenger vont jusqu’à écrire dans leur Malleus Maleficarum, un manuel de chasse aux sorcières4, que « le désir charnel est chez les femmes sans limite ».
Bien des hommes recevant une stimulation manuelle de leur conjointe se couchent frustrés, même quand ils ont connu un orgasme, même quand ces caresses étaient prodiguées avec attention et compétence. Il leur semble qu’il manque quelque chose. Dans notre optique occidentale, mieux vaut une pénétration expédiée en deux minutes plutôt qu’un jeu érotique époustouflant de deux heures.
On a d’abord cru à une blague. Sorti aux alentours du 1er avril, un hors-série du magazine Valeurs Actuelles titrait : « La vraie histoire des colonies », avec cette stupéfiante légende : « Des pionniers du Nouveau Monde aux larmes de l’Algérie française… quatre siècles d’épopée coloniale. Dont la France n’a pas à se repentir. »
Si une poignée de cadres à barbe de trois jours se réunit régulièrement sous l’appellation de « club barbecue », vous pouvez être à peu près sûr que vous avez affaire à un collectif de l’ombre cultivant discrètement, plus qu’un amour de la viande rouge, un entre-soi masculin aux allures de Fort Alamo. On appelle male bonding cette façon particulière de faire réseau en discutant football autour d’une pinte ou bien en parlant moteurs dans la fumée de cigare. Ces valeurs censément masculines partagées entre pairs cachent en réalité une implacable mainmise sur les réseaux de cooptation.
Je l’ai souvent écrit ici, le féminisme devient bankable et même si c’est globalement une bonne nouvelle, on peut néanmoins pointer la récupération marketing émanant de marques souvent loin d’être exemplaires sur le sujet. Et qui profitent de l’aubaine pour vendre tout et n’importe quoi à partir du moment où c’est estampillé féministe par leurs soins.
Voici des centaines de témoignages de femmes et d’hommes ayant été victimes ou témoins d’une mauvaise prise en charge par les forces de l’ordre lors d’un dépôt de plainte pour violences sexistes ou sexuelles. Ces témoignages ont été récoltés par le Groupe F et Paye ta Police en 10 jours seulement.
Pierre-Jean (1) évoque un «accident». Antoine parle de «petite poussette». Patrick de «chamailleries avec madame». Mais pour la justice, ce sont tous des auteurs de violences conjugales.