Officiellement utilisé dans les uniques objectifs de lutte antiterroriste et contre les grands criminels, le logiciel a pourtant servi à hacker des opposants à des gouvernements, des défenseurs des droits ou encore des journalistes. Il aurait notamment servi à pister Jamal Khashoggi, un journaliste du Washington Post assassiné en octobre 2018 sur ordre du prince saoudien, d’après le renseignement américain.