L’arbitrage obligatoire était en place chez Google il y a encore quelques mois. Une enquête du New York Times publiée à l’automne a montré ses limites. Plusieurs cadres de l’entreprise ont été accusés de harcèlement, mais ils ont pu poursuivre leur carrière, ou démissionner avec des bonus de plusieurs dizaines de millions d’euros en poche. à à ces révélations, Sundar Pichai, le CEO de Google, a entre autres annoncé la fin de l’arbitrage obligatoire. D’autres grosses entreprises de la tech avaient pris des mesures similaires : c’était le cas de Microsoft dès 2017.