Entre août 2017 et septembre 2018, autour de 300 personnes ont été licenciées selon un processus automatisé. Des robots surveillent la productivité de chacun·e. Si les quotas de productivité ne sont pas atteints, des avertissements sont automatiquement générés, voire des licenciements. À aucun moment il n’est question de supervision humaine, mais Amazon affirme que les employés peuvent faire appel d’une décision automatisée.