Mais alors que de plus en plus de labels, d'éditeurs, et de groupes succombent à ce chant des sirènes modernes qu'est la consommation bling-bling, troquant le rapport humain (le bouche-à-oreille et les mails aux amis, entre autres) contre de l'échange technique parasité par des entreprises avides de données personnelles et encaissant la caillasse en dépit d'un service inexistant, il existe heureusement des structures intègres qui rejettent ce système. Et nous devons les soutenir.