Amélie Coispel, présidente de l’association Les Internettes, qui soutient la création féminine sur YouTube, ne mâche pas ses mots : « Pour un téton, pour le mot vagin, pour avoir parlé de viol, ou même de féminisme, pour tout ce qui a trait aux femmes ou au droit des femmes, des créatrices sont démonétisées sur des vidéos. »