Enièmes péripéties, après de nombreuses révélations plus choquantes les unes que les autres. Que l’on songe par exemple au « Monkeygate », mis en lumière il y a un an par le « New York Times » : pendant des heures, dans un espace confiné, des constructeurs allemands expérimentaient les effets de l’inhalation de gaz d’échappement sur des singes et… des cobayes humains. Daimler, impliqué, minimisait les résultats de l’expérience qui démontraient que les nouveaux moteurs Diesel étaient plus dangereux que les anciens, notamment en raison de leurs émissions de nanoparticules…