Un simple tee-shirt noir, frappé d’un A cerclé. Prix : de 22.5 à 43.39 €. Sur le site, une promesse : « chaque achat contribue à récolter des dons pour des groupes militants et œuvres caritatives ». C’est l’argument clé de No Gods No Masters (NDNM), une plateforme qui prétend financer les collectifs militants et mouvements sociaux grâce à la vente de produits estampillés rébellion. Mais, derrière l’écran, la réalité est bien différente.

Dimanche 16 février, une meute de néo-nazis attaquait une soirée internationaliste à Paris, envahissant un local où avait lieu la projection d’un film, avant de tabasser les personnes présentes et de poignarder un syndicaliste de la CGT. Cet attentat n’a suscité aucune réaction du gouvernement, d’habitude si prompt à réagir aux moindre faits divers. Pire, dans un court laps de temps, au moins trois autres attaques fascistes ont eu lieu en France, dans une indifférence glaçante.

Ce site propose en libre accès le contenu du livre Nous ne nous tairons plus: pratiques féministes de la radio et leurs contextes (1975-2000) édité en 2025 par les Archives contestataires. L'ouvrage fait suite à une journée d'étude qui s'est déroulée le 12 octobre 2023 à Genève autour des pratiques féministes de la radio.

Les deux joueurs du XV de France sont accusés d'avoir violé une femme dans leur hôtel, dans la nuit de samedi à dimanche, où ils logeaient après leur victoire face à l'Argentine.

Vulves assassines, Foune Curry, King Kong Meuf, My dog’s a bear… Quel est le point commun entre ces groupes si ce n’est leurs noms à défriser la mise en plis de tante Hortense et leur ancrage grand-parisien ? Ils sont composés uniquement de femmes qui n’hésitent pas à brancher les guitares

Je voulais raconter cette histoire et rendre hommage à ces activistes. Ronan Omes ayant eu la mauvaise idée de nous quitter en 2015, j’ai donc contacté Rascal pour lui proposer de se raconter et à travers lui cette histoire incroyable mais qui est aujourd’hui trop méconnue ! Il a tout de suite accepté avec une gentillesse qui n’a d’égal que son talent. Voici donc l’histoire d’une bande de copains qui ont permis à Paris de rallumer les amplis.

Le punk, pourtant, Les Sheriff refusent d’y adhérer tout à fait. Eux se définissent, à l’instar des Ramones, toujours comme un groupe de rock.

Si le procès des viols de Mazan et le courage de Gisèle Pélicot ont nourri le débat en France, on mesure peu à quel point l’impact a été mondial. Et, depuis, de nombreux pays ont cherché à savoir si une "affaire Pélicot" aurait pu voir le jour dans chez eux.

Ainsi, en Allemagne, la radio publique a lancé une enquête et fait une découverte stupéfiante avec des dizaines de groupes donnant des conseils aux agresseurs comme où acheter des drogues et comment violer des femmes, le tout accompagné de photos et vidéos des victimes.

avoir critiqué le film Kaamelott : premier volet (2021), Justine Breton, universitaire spécialiste des réinventions contemporaines du mythe arthurien, se trouve ciblée par une intense vague de cyberviolences sur les réseaux sociaux, largement portée par des fans de la série Kaamelott. Cet article montre comment les stratégies rhétoriques des harceleurs recoupent et prolongent des motifs diégétiques développés au fil de la série, en sorte que le harcèlement participe pleinement de l’identité de fan. On reviendra enfin sur l’enjeu du « réalisme historique », pour en montrer à la fois la charge paradoxale et la puissance identitaire dès lors qu’il s’agit de se battre ou, en l’occurrence, d’agresser pour défendre des prénotions sur l’époque médiévale.

es prémices judiciaires datent, elles, de 2002, quand Abramo Allione Edizioni Musicali, société éditrice d’On va s’aimer avec Universal Music Italia, se lance dans une procédure d’assignation en non-contrefaçon, censée faire reconnaître le caractère original de l’œuvre vis-à-vis d’Une fille de France. Or la manœuvre produit l’effet inverse : en 2008, le tribunal de Milan, en Italie, « juge que l’œuvre On va s’aimer constitue une contrefaçon de l’œuvre musicale Une fille de France », retrace la cour d’appel de Paris dans son arrêt.