Twitter a présenté ses excuses mardi 8 octobre pour avoir utilisé par « inadvertance » des numéros de téléphone et des adresses e-mail de ses utilisateurs à des fins publicitaires, alors que ces informations n’auraient pas dû être utilisées pour cela.
L’entreprise californienne a expliqué dans un communiqué que des numéros et des courriels d’utilisateurs de Twitter, qui devaient servir pour s’identifier sur la plate-forme (notamment en cas d’activation de l’authentification à deux facteurs, qui garantit davantage de protection contre des piratages), avaient été par erreur mis en lien avec des données détenues par des annonceurs pour leur permettre de faire de la publicité ciblée.
C'est le nom d'un groupe Facebook alimenté, notamment, par plusieurs journalistes parisiens. Et qui est depuis plusieurs années accusé régulièrement de cyber-harcèlement.
Et donc c'est à Facebook qu'on va confier le soin d'organiser le premier rapport de ces publics au numérique. Et donc ça ne choque personne. C'est juste un peu comme si on confiait à MacDo, dans les écoles maternelles, le soin d'organiser le premier rapport de nos enfants à la nutrition. La question de l'acculturation est essentielle. Laisser Facebook (ou un autre acteur privé) s'en emparer particulièrement pour des publics sans aucun bagage technique et critique sur ces enjeux, est juste une honte au moins équivalent à celle de l'accord passé avec Microsoft pour l'éducation nationale, ce qui n'est pas peu dire niveau honte absolue.
Les auteurs de violences faites aux femmes en ligne bénéficient d’une « très grande impunité » sur Facebook, Twitter et YouTube. C’est la conclusion d’un rapport publié le 7 février par le Haut Conseil à l’égalité entre les femmes et les hommes (HCE).