Ces centaines de milliers de membres étaient ainsi rémunérés pour ce « test de personnalité », officiellement pour un usage universitaire. Leurs données et celles de certains de leurs amis (selon les permissions ouvertes) étaient fournies à Global Science Research (GSR), une société menée par l'universitaire Aleksandr Kogan de Cambridge. Sans l'accord des internautes, elles étaient ensuite revendues à Cambridge Analytica.