Sur la proportion de garçons trans : à Robert-Debré, où l’on est spécialisé·es dans l’accueil des très jeunes, nous avons beaucoup de petites filles trans. Quand on est une petite fille assignée garçon à la naissance, qui veut mettre des robes et avoir les cheveux longs dans nos sociétés stéréotypées, il y a plus de questionnements parentaux, et ces enfants arrivent donc plus vite à notre consultation qu’un enfant assigné fille à la naissance qui veut avoir des cheveux courts et mettre un pantalon.