Certains patrons lyonnais ont eu vent de l’information et ne cachent pas leur exaspération. “Cet appel d’offres a été fait sans mise en concurrence, alors que d’autres entreprises sont capables de fournir des services de ce genre sur d’autres plateformes", souligne l’un d’eux. "On donne de l’argent public à une start-up qui permet à Facebook de prendre un marché où il n’est pas encore assez implanté.”, peste un autre.